1. Le nettoyage régulier

Pour perdurer votre échappement pour moto, il n’y a rien de mieux qu’un nettoyage régulier. Cela permet entre autres d’empêcher la rouiller de s’installer et de faire briller l’accessoire sans trop d’effort. À l’aide d’une bassine d’eau chaude, d’une éponge et d’un chiffon microfibre, commencez par mettre de l’eau sur toute la ligne d’échappement. Lors de l’opération, vous devez veiller à ne pas faire entrer l’eau à l’intérieur de l’échappement. Pour ce faire, utilisez tout simplement un bouchon de pot. Si vous voulez avoir un résultat étincelant, munissez-vous de lingettes nettoyantes ou d’un spray biodégradable.

2. Le nettoyage plus poussé

Le nettoyage en profondeur doit se compléter avec un nettoyage régulier. Pour cela, vous devez utiliser quelques produits spécifiques, dont un produit pour polir et protéger l’inox, un produit lustrant ainsi qu’un produit efface-rayures en cas d’éventuelles rayures visibles. Pour une ligne d’échappement en carbone, il est déconseillé d’utiliser un nettoyant abrasif. Notez que l’échappement n’est pas constitué de carbone à 100 % et l’opération peut donc faire apparaitre du blanc.

3. Le nettoyage décapant

Si vous voyez des traces de rouilles, vous pouvez les enlever grâce à des produits spécifiques. Mais en cas de rouille très avancée, il sera alors très difficile, voire même impossible d’éliminer certaines traces. Pour faire partir la rouille, vous devez commencer par envelopper votre pot d’échappement par un tissu trempé au préalable dans une solution de vinaigre blanc. Après un temps de repos, appliquez ensuite sur le pot du bicarbonate de soude. Dans certains cas, il est nécessaire de frotter les parties à nettoyer avec de l’aluminium roulé en boule. En ce qui concerne un gros décapage, il est judicieux d’utiliser une ponceuse munie d’un disque de polissage. Cette opération nécessite d’avoir une main légère pour éviter de créer des rayures profondes.

Les statistiques à la rescousse des vieux

Le rêve semble réservé aux jeunes casse-cou qui se faufilent entre les voitures, avec leurs scooters pétaradants. Une fois grands, les enfants refusent aux parents le droit de circuler en motos, sous prétexte que les automobilistes ne font pas attention aux deux-roues dans la rue. Cela équivaut à ignorer tout simplement que les accidents arrivent aussi aux jeunes. La tendance va même dans le sens contraire si on se réfère aux statistiques. Bien sûr, il y a plus de jeunes victimes d’accidents que de vieux. Cela est dû au fait qu’il y a plus de jeunes qui vont à moto que de vieux qui s’adonnent à cette passion. Il s’agit en plus de considérer la proportion des jeunes accidentés parmi tous ceux qui en conduisent et la comparer à ceux des personnes d’âge mûr victimes d’accidents de moto.

Les grands-pères, des motocyclistes responsables

Par ailleurs, en prenant de l’âge, les amateurs de motos font plus preuve de respect du code de la route et sont plus enclins à faire attention aux risques d’accidents. Ils sont correctement équipés et sont plus soucieux de leurs machines car les vieux qui vont à moto sont en général des passionnés. Ils assurent consciencieusement l’entretien pour ne pas tomber en panne en pleine route. Ils font aussi moins d’excès de vitesse et risquent moins de faire une chute par inadvertance. C’est pour ces raisons qu’une moto appartenant à un vieux se vend trois fois plus vite qu’une moto du même âge, de même kilométrage, d’un jeune.

Comment fonctionne un scooter électrique ?

Le scooter électrique utilise des batteries comme source d’énergie au lieu de l’essence. Ces batteries transmettent de l’énergie à un moteur électrique, générant sa propulsion et son mouvement. Comme il n’y a pas d’essence, il n’y a pas de combustion et donc pas de génération de bruit ou d’émission de gaz polluant. Inutile de vous dire que ce modèle vous permettra de faire un geste pour l’environnement en limitant l’émission de gaz qui détruit petit à petit notre planète. Faisons une petite comparaison entre le modèle de scooter électrique et à essence pour mieux comprendre leurs différences.

La différence entre les scooters électriques et à essence

Comme leur nom l’indique, les scooters électriques fonctionnent à l’électricité. Ils doivent être connectés à une prise classique pour les recharger. Cette énergie est stockée dans une batterie qui alimente ensuite le moteur pour déplacer le scooter.

• Le scooter électrique ne nécessite ni essence ni huile.
• Il est plus économique en termes de charge et d’entretien contrairement à celui qui utilise du carburant.
• Les scooters électriques sont respectueux de l’environnement, car les batteries sont recyclables. Ils n’émettent pas non plus de gaz polluant.
• Le moteur des scooters électriques ne fait pas de bruit ni de vibrations, ce qui les rend plus confortables à conduire.
• Il a moins de possibilité de panne en raison du nombre réduit de pièces.
• La vitesse est augmentée par la puissance du moteur au fur et à mesure que le scooter accélère.

La puissance des moteurs électriques est mesurée en watts, 1 cheval-vapeur équivaut à 745,7 watts. Considérant que les scooters électriques n’ont pas de moteur à combustion comme les scooters traditionnels, afin de faire une comparaison, vous devriez convertir la puissance du moteur en une valeur standard.

Généralement, la puissance des moteurs électriques oscille entre 250 W et 1200 W. Cependant, la puissance maximale d’un moteur électrique (1200 W) serait difficilement comparable à celle d’un 27cc, bien inférieure à 50cc évidemment. Il convient de mentionner que la vitesse théorique des scooters électriques est généralement inférieure à 50 km / h.

Comment choisir le scooter électrique idéal ?

Tout d’abord, tout dépend des besoins de chaque utilisateur. De manière générale, si la tension de la batterie est plus élevée, l’efficacité d’utilisation sera meilleure. En ce sens, pour parcourir de longues distances, la tension de la batterie doit être supérieure à 60V / 40AH.

Par ailleurs, pour une utilisation particulière, la puissance du moteur ne doit pas nécessairement être élevée. Un moteur de 1000 W suffira pour d’excellents résultats. Si vous avez besoin de transporter des passagers ou une charge un peu lourde, il vaudra mieux acheter un scooter d’une puissance de 3 000 W.

Chez PureRider, vous trouverez une grande variété de scooters électriques. Le magasin dispose de tous les modèles de scooters NIU qui est l’une des marques les plus populaires actuellement. Visitez son site web pour en savoir davantage et pour choisir le modèle qui vous correspond le plus.

De quel type d’entretien les scooters électriques ont-ils besoin ?

Le système électrique ne nécessite pas d’entretien constant puisque ses composants ont une conception optimale. Le moteur électrique est à courant continu triphasé, sans balai. Il n’y a donc pas de pièces qui présentent une usure mécanique due au fonctionnement. Par ailleurs, les batteries des différents modèles, à la fois au plomb et au lithium, sont scellées. Elles ne doivent donc jamais être ouvertes pour être chargées, de la même manière que vous n’avez pas besoin de composants tels que des liquides ou des huiles.

Le casque moto Shark Evo One Astore Mat

Ce casque modulable est très bien ficelé avec sa coque thermoplastique et son intérieur tissu microfibre. Aéré et polyvalent, le Shark Evo One est également accompagné d’une boucle micrométrique. Par ailleurs, son rapport qualité/prix n’est pas en reste comparé aux nombreux casques du marché.

Le casque moto AGV K-3 SV Five Continents

On retrouve diverses options et caractéristiques intéressantes sur ce casque intégral. Ce qui le différencie des autres casques est la présence d’un double écran solaire intégré et bien entendu d’un cache-nez amovible. La coque est constituée d’un revêtement thermoplastique et l’intérieur dispose d’un tissu de type Dry confort.

Le casque moto Spartan Carbon Priona

Ce casque intégral est disponible en plusieurs coloris. Son design intéressant n’est pas aussi en reste. Léger et protecteur, le Spartan Carbon Priona réunit deux ingrédients essentiels pour en faire un casque parfait. Sa coque est constituée de fibres de verre et de carbone. L’intérieur est tapissé par un tissu microfibre. La jugulaire est en boucle double-d.

Le casque moto Roof RO32 Desmo Uni

Le Roof RO32 est apprécié pour son système modulable et son confort. Grâce à la technologie Silent Lining, le casque peut réduire les turbulences. Ceci procure aux motards un confort de conduite optimal. La coque thermoplastique est équipée d’une jugulaire en boucle micrométrique. L’intérieur du casque est recouvert d’un tissu moelleux offrant plus de confort.

Le casque moto HCJ RPHA 11 Venon

Il s’agit d’un casque de type jet. Il bénéficie d’une coque très solide avec un poids de 1,3 kg. Sa coque est constituée de fibres tricomposites. L’intérieur est confortable grâce à un système multicool. En outre, ce casque destiné aux adultes possède un bon rapport qualité/prix.

KTM 1190 Adventure

Ce magnifique bolide bénéficie d’un moteur bicylindre 4 T. Avec une cylindrée de 1195 cm3, la KTM 1190 peut développer une puissance de 110 kW à 9 500 tr/min. Le réservoir de la moto a une capacité de 23 litres. Le poids à sec est de 212 kg. Pour ceux qui aiment la vitesse, sachez l’Adventure peut aller jusqu’à 200 km/h.

KTM 1290 Super Duke R 2020

La Super Duke R possède un look plutôt sportif. Son moteur bicylindre 4 temps offre une puissance de 132 kW à 9750 tr/min. La cylindrée de 1301 cc permet d’avoir une vitesse de pointe de 270 km/h. Ayant un réservoir de 16 litres, la moto à sec a un poids de 189 kg.

KTM 390 Adventure

KTM 390 a sous la selle un moteur monocylindre 4T avec une puissance de 32 kW à 9 000 tr/min. Le réservoir offre une capacité de 14,5 litres. Le poids de la 390 Adventure est de 158 kg. Le système de freinage est assuré par un frein à disque avant et un frein à disque arrière.

KTM 790 Duke

La KTM Druke bénéficie d’un moteur bicylindre 4 temps d’une puissance de 70 kW à 8 000 tr/min. En ce qui concerne le système de freinage, on retrouve un double disque arrière et un disque avant. Avec le réservoir de 20 litres, la KTM pèse 189 kg en tout. Grâce à sa grosse cylindrée de 799 cm3, la moto peut atteindre plus de 200 km/h.

KTM RC8 R

Voilà une moto qui a de quoi satisfaire les grands amateurs de puissance et de vitesse. Son gros moteur bicylindre 4 temps fournit une puissance de 129 kW à 10 250 tr/min. RC8 a un poids à vide de 186 kg. Le réservoir a une capacité de 16,5 litres. Le système de freinage est assisté par deux disques arrière et un disque avant.

Le mode de fixation

Conformément à son nom, la sacoche de réservoir est à installer sur le réservoir de votre moto pendant votre déplacement. Selon le modèle choisi, la sacoche peut être fixée sur tapis de réservoir ou par un système magnétique. Le mode de fixation de la sacoche de réservoir peut donc servir de critère de choix. Si vous optez pour une sacoche de réservoir avec tapis, vous pouvez assortir celui-ci avec le design de votre moto. Si vous préférez une sacoche de réservoir avec fixation magnétique, comptez suffisamment d’aimant pour la sécurité de votre sacoche.

La capacité

Choisissez votre sacoche de réservoir en fonction de sa capacité et du nombre de compartiments qu’elle possède. Comme elle servira à contenir vos affaires pendant vos déplacements, il est pratique d’opter pour une sacoche de réservoir plus grande et dotée de poches. Veillez toutefois à ce que son volume ne gêne pas votre champ de vision sur le tableau de bord. Pour plus de praticité, optez pour l’une de ces sacoches de réservoir pouvant se transformer en bandoulière ou en sac. Il vous sera alors facile de la transporter une fois à destination.

La matière et l’étanchéité

Le choix de votre sacoche de réservoir peut aussi se porter sur la matière avec laquelle elle est fabriquée. Que le modèle de sacoche de réservoir qui vous intéresse soit en tissu, en skaï ou en cuir, assurez-vous qu’il soit étanche et résistant. Comme il se trouve sur votre réservoir, il va subir l’effet du soleil, les variations de température et la pluie. Il est donc important que la sacoche garde vos affaires intactes lors de vos déplacements.

L’huile de moteur

L’huile du moteur d’une moto a besoin d’être changée régulièrement, car elle s’use au fil du temps. Elle perd certaines de ses propriétés au fil des utilisations, ce qui fait qu’elle pourrait finir par endommager le moteur. Elle peut aussi engendrer un engorgement du filtre à huile si elle n’est pas remplacée régulièrement. La vidange est de ce fait un entretien important. C’est également à ce moment qu’il faudra changer le filtre à huile. Après la vidange, veillez à ne pas jeter l’huile usée n’importe où au risque de nuire à l’environnement. Vous pouvez la remettre à des centres spécialisés qui ont la capacité technique de les recycler afin de produire de nouvelles huiles de moteur. À part la qualité de l’huile, il est impératif de surveiller son niveau. S’il y a peu d’huile dans le réservoir, cela risque d’accélérer la dégradation du moteur.

Le reste de l’entretien

Deuxième élément important à voir durant l’entretien : les bougies. Leur remplacement s’effectue en général tous les 10 000 ou 20 000 km. Il faut cependant s’informer auprès des constructeurs afin de connaitre la durée de vie exacte de ses éléments. Si celles-ci sont défectueuses, il y aura des répercussions négatives sur la performance du moteur. Ensuite, vous avez le filtre à air. Que ce soit un filtre en mousse ou un filtre en papier, il est possible de faire un simple nettoyage en vue de retirer les impuretés. Cependant, il faudra tôt ou tard les remplacer par des pièces neuves afin de préserver la santé du moteur. Autre point important, les freins. Vous devrez contrôler l’état d’usure des disques de freins ainsi que le niveau du liquide de frein. En dernier lieu, vous pourrez vous occuper du graissage de certaines parties mécaniques.

l’auto-entretien : formation et expérience à acquérir

Lorsque l’on est passionné, il vaut mieux faire les choses à la perfection. Vous souhaitez entretenir votre pit bike comme il faut ? Inscrivez-vous à une formation courte, non diplômante. Entretenir une mini moto ou un dirt bike ou un pit bike, ce n’est pas seulement nettoyer la moto et ses composants. Ce n’est pas non plus seulement appliquer les procédures d’entretien conseillées pour certains éléments du pit bike. L’entretien exige d’avoir un œil critique. Effectivement, réaliser un entretien digne de ce nom, c’est savoir prévoir les pannes, repérer les pièces défectueuses ou qui seront bientôt hors d’usage et trouver les pièces qui sont sur le point d’être touchées par l’usure. C’est aussi savoir acheter les bonnes pièces détachées. Sur les boutiques spécialisées comme WKX Racing, les articles sont extrêmement nombreux. Il faut être un véritable expert pour réussir à choisir les plus adaptés à un pit bike donné. Trouvez des centres de formation professionnelle qui donnent des formations théoriques et pratiques dans les métiers de la moto et en mécanique moto. Ces établissements proposent généralement des formations à la carte sur des durées variées allant de quelques jours à quelques années. Il existe également des formations sous forme de stage.

Les pièces détachées, piliers de l’entretien

Durant ces formations, vous apprendrez de manière approfondie la composition d’une moto classique ainsi que le montage et le démontage de ses composants. Cette composition est la même sur un pit bike ou un dirt bike. Vous découvrirez les spécificités des pièces du pit bike au fur et à mesure que vous inspecterez le vôtre après les formations en application de vos cours. Par exemple, au cours de votre phase d’inspection de votre pit bike, suite à vos cours en centre de formation ou en stage, vous prendrez connaissance de l’amortisseur typique d’un pit bike. En attendant cette expérience pratique, vous avez une explication de cette pièce par ici. Les pièces détachées sont fondamentales en mécanique moto. Si vous ne les maîtrisez pas, vous ne saurez pas comment les choisir lorsqu’il faudra changer des pièces de votre pit bike. Mais avant d’intégrer l’univers complexe des pièces détachées du pit bike et de la moto en général, vous devez être familier du fonctionnement de la moto, et de toutes les pièces qui lui permettent de rouler normalement.

L’intervention d’un professionnel : un budget à prévoir

Vous n’avez pas envie de suivre une formation ? Ce n’est pas grave. Les mécaniciens sont là pour prendre en charge l’entretien régulier de votre pit bike. Ils vous diront également les différentes pièces détachées à acheter (avec les références précises) chaque fois que cela est nécessaire. Demandez à assister à chaque opération d’entretien. C’est grâce à cela que vous vous initierez à toutes les tâches d’entretien. Puis, au fil du temps, vous peaufinerez vos acquis. Soyez également curieux et n’hésitez pas à vous renseigner dans les livres et sur le web. Sachez que les entretiens auprès d’un mécanicien coûtent un peu cher. Il vous faudra donc étudier votre budget pour que la régularité de l’entretien ne soit jamais interrompue.

Le réglage de la précharge pour les suspensions

La première chose que vous devriez savoir serait le débattement total de votre fourche, ainsi que vos amortisseurs. Normalement, c’est indiqué dans la fiche technique. Toutefois, vous pourrez connaître cette valeur en mesurant la mobilité de la suspension. Concrètement, il faut que l’enfoncement soit au tiers de la longueur totale à vide lorsque vous montez sur votre moto. Il faudra faire un réglage du ressort en conséquence si vous avez une autre proportion.

Voir la compression et la détente

Le constructeur a prévu une vis de réglage pour ajuster la compression selon vos besoins. C’est assez simple, il faut serrer pour que l’amortisseur soit ferme et tourner dans le sens contraire pour que la suspension gagne en souplesse. Faites le même réglage à l’avant et à l’arrière de votre moto. Puis, appuyez au centre. Si l’avant s’enfonce plus rapidement que l’arrière, il faut équilibrer. Il est important que la moto remonte à la même vitesse à laquelle vous l’avez enfoncé.

Les manipulations pour régler la suspension à votre goût

Chaque motard a sa préférence en matière de suspension. Le parfait réglage devrait tenir en compte l’état de la route et la vitesse à laquelle vous roulez. Le poids du conducteur et la présence de virages seront également à voir. De toute manière, une moto sportive ne sera pas réglée de la même manière qu’une routière ou un deux-roues de livraison. Pour apprendre à bien connaître votre monture, vous devrez aller à tâtons ou suivre un stage pour motards.

L’organe le plus important de la moto est sans doute le moteur. Chez l’homme, il sera comparé au cœur. Le moteur est donc l’élément le plus important de la moto et disposant d’un mécanisme qui permet à celui-ci d’avancer. Avoir un minima de connaissance du moteur de sa moto est de ce fait, est primordial. En effet, c’est utile pour un pilote pour éviter qu’il ne se perde en cas de panne sur route. Mais ce sera aussi utile, pour avoir plus d’affinité avec sa bécane. En général, les moteurs utilisés sur les deux roues sont les moteurs à combustion interne ou moteur à explosion. Il existe deux types de moteurs dans ce cas : les moteurs 2 temps et les moteurs 4 temps.

Fonctionnement d’un moteur 2 temps

Le moteur 2 temps, définit ainsi pour sa structure qui fait que le piston fait un aller dans un premier temps et au retour un deuxième temps, effectue un tour complet en un seul mouvement de 360°. Un moteur deux temps est souvent utilisé sur les motos de course, mais aussi sur des motos catégorisées comme petites cylindrées. Voici ce qu’il se passe dans un moteur à deux temps en marche. Dans un premier temps, le piston est propulsé par la bielle qui est elle aussi, montée sur le vilebrequin sur la partie haute du mécanisme. Une fois au-dessus de la tête du piston, le mélange air/essence est comprimé dans la culasse qui est allumé grâce à l’étincelle de la bougie. Cette action crée ensuite une explosion qui ramène le piston à son point de départ. Cette phase est ainsi, appelée : la détente. Au cours de la détente, le piston à mi-chemin, dégage le gaz emprisonné vers le collecteur qui évacue la fumée dans l’échappement, et ainsi de suite.

Fonctionnement d’un moteur 4 temps

Plus complexe que le moteur 2 temps, le moteur 4 temps possède beaucoup plus d’avantage que le précédent. On note un couple plus élevé et moins de gaz à la sortie d’échappement. Par conséquent, la consommation est beaucoup plus réduite et les pièces ne subissent pas de grosses usures. Son fonctionnement est très différent d’un 2 temps étant donné que pour créer l’étincelle de la bougie, il lui faut effectuer 2 tours de pistons, c’est-à-dire, un cycle complet à 720 °. Dans le 1er temps, on remarquera l’étape de l’admission. Vient ensuite, la compression puis l’explosion. Et enfin, on a la phase de l’échappement d’où l’appellation : moteur à 4 temps. Ce type de moteur est composé de soupapes qui ont pour rôle de permettre l’entrée et la sortie des gaz respectivement avant et après l’explosion. Le moteur 4 temps se différencie du 2 temps par la sonorité de la sortie des gaz. Cette sonorité est plus grave. Tandis que sur un 2 temps, le bruit est très nerveux. On remarquera aussi qu’il y a une différence sur la forme des échappements. En effet, on retrouvera une sortie directe pour les 4 temps contre un pot courbé au niveau des motos à moteur 2 temps.